« Je n'espère rien, je ne crains rien, je suis libre » : c'est l'épitaphe de Nikos Kazantzákis dont nous lisons aujourd'hui un des romans au titre emprunt de fatalité, La Liberté ou la mort.
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« Je n'espère rien, je ne crains rien, je suis libre » : c'est l'épitaphe de Nikos Kazantzákis dont nous lisons aujourd'hui un des romans au titre emprunt de fatalité, La Liberté ou la mort.