Car dans ce nouveau format du Canard sauvage, il ne suffit que d'un mot pour qu'une gerbe d'images, de questions, d'affirmations, de voyages jaillisse...
Peindre le désert ou l'arpenter en moto, s'y réfugier pour se détacher du monde ou l'explorer pour découvrir des cités antiques, le filmer ou le décrire... Vivez l'aventure du désert à la suite Lawrence d'Arabie, de John Milius, de peintres et de Pères du désert (et interrogez les racines du monothéisme), suivez Flaubert, Saint-Exupéry et Buzzati, côtoyez des motards et des hallucinations, ou désertez, avec Ernst Jünger et Hugo Pratt...
Enfin, après un peu moins d'un an de production régulière sur ce refuge honorable, hospitalier, qui demeurera pour notre revue comme une vieille bâtisse fidèle, le Canard sauvage s'envole vers un air nouveau, retrouvant le papier, dans une formule nouvelle et innovante que M. de la Motte-Flanquin ne manque pas d'expliciter à la fin du numéro.
D'un mot...
C'est sous le signe de cette formule intrigante, destinée à devenir proverbiale, que s'ouvre la nouvelle édition du Canard sauvage. D'une ouverture, c'est bien de cela qu'il est question. Car le Canard entend bien ouvrir toutes les portes qui se présentent à notre esprit dès que résonne le mot : désert... et les vocables qui suivront !
Plumes, interlocuteurs divers et surprenants : le Canard sauvage s'impose plus que jamais comme la revue indispensable pour flâner à loisir...
N'hésitez pas à commenter et débattre du Canard sauvage dans l'espace commentaire !
Vous pouvez vous le procurez en payant ici la modique somme de 5€ (ou l'affreux prix de 7€34, dans le cas où vous devez vous le faire livrer) : pour préciser les modalités d'expédition, contactez la revue (canardsauvagedunmot@gmail.com) ou Ghislain de Masfrand, (gdemasfrand@gmail.com).