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Comme s'annonce le printemps, le Canard sauvage reprend son envol, d'un mot : LUMIÈRE !

Procurez-vous ici le nouveau-paru, en précisant par un mail l'adresse de votre livraison éventuelle, ou bien rendez-vous à la chaleureuse causerie & beuverie organisée à l'occasion de son envol le 22 fév. à Paris, café Drouot, IXe arr., en présence d'Ernest-Hilare de la Motte-Flanquin et des amis inaltérables et sauvages de notre journal . 

 

Ce troisième numéro s'offre comme une promenade, une pérégrination : vous découvrirez comment Pierre Soulages a réalisé les vitraux de Conques ; vous pénétrerez dans les lumières de la Renaissance italienne ; vous saisirez ce qu'éclat veut dire avec Héraclite ; vous comprendrez par quelle ingénieuses machinerie Cyrano de Bergerac a pu voyager sur la lune et le soleil ; vous contemplerez les peintures recueillis de Georges de La Tour vous verrez mourir le Roi-Soleil avec quelques gorgées de vin d'Alicante à travers une évocation du film d'Albert Serra ; vous chevaucherez jusqu'à Venise avec le Condottière d'André Suarès ou vous y flânerez avec Corto Maltese vous découvrirez quelques sorties récentes dans une page singulière dédiée à l'actualité (le roman C'est la rouille  d'Hadrien Timon Rouyard, la bande dessinée Des maux à dire de Beatriz Lema, le film d'animation They shot the piano player de Trueba et Mariscal) ; vous contemplerez Dieu avec les maîtres du Carmel vous affronterez les lumières occultes avec Blake et Mortimervous inventerez le cinéma avec les frères Lumièrevous ferez une lumineuse halte poétique, et vous entreverrez la très riche histoire de la lumière et les controverses scientifiques sur sa véritable nature dans la grande frise chronologique au cœur du numéro...

Faites-vous l'écho, dans les villes et dans les campagnes, de cette lumière nouvelle à la poursuite de laquelle s'est lancé notre canard...

Les précédents numéros (DÉSERT et JEU) sont aussi encore disponibles... Le prix reste de 5€, plus 2€34 de frais de poste s'il faut vous l'expédier. 

 

Sauvagement vôtre !

E.-H. de la Motte Flanquin

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